mardi 14 octobre 2014

Les Nations Unies avertissent qu'il ne reste que 60 jours pour enrayer la propagation de l'Ebola, sans quoi la situation sera devenue hors de contrôle à Noël...

* Que ce soit du "fearmongering" (créer la peur inutilement), ça n'a plus aucune espèce d'importance puisque c'est la sévérité du propos qui oriente les décisions et les actions des autorités mondiales, nationales et locales. On peut s'époumoner à dire que ce genre de titre pompeux ne vise qu'à créer la peur, mais ça ne change en rien le fait que dans 60 jours, des soldats armés pourront être postés à l'entrée des marchés l'alimentation pour dépister de potentiels porteurs du virus. Délire? J'espère. Mais je continue de croire que l'imposture de la pandémie de 2009 aura été un terrain fertile pour apprendre de leurs erreurs puisqu'une très large portion de la population a perdu confiance aux autorités, aux vaccins, et que cette confiance ne peut se rebâtir que dans un contexte de grande angoisse... 

http://news.sky.com/story/1352857/sixty-days-to-beat-ebola-united-nations-warns


SOURCE

Élémentaux...

L'épidémie d'Ebola pourrait décimer la moitié du genre humain...

Oui, l'épidémie est bien réelle, oui, les autorités sous-estiment le danger. Un point de vue qui va à contre-courant des analyses conspirationnistes habituelles. 



Sans avoir encore explosé aussi exponentiellement que ne le prévoyaient certains modèles (que nous avions précédemment cités dans nos articles précédents) l'épidémie d'Ébola se développe rapidement, et pourrait très bien atteindre, non seulement l'ensemble des pays dits pauvres, mais aussi à un moindre degré (quoique ce ne soit pas certain) les pays dits riches, l'Europe, les États-Unis...

Il en est de même des taux de mortalité. Loin de s'atténuer, comme lors des précédentes épidémies d'Ébola, ils paraissent s'accroitre. Les statistiques venant des pays actuellement touchés minorent sans doute d'ailleurs la réalité, tant en ce qui concerne les cas, que les décès, compte tenu de la difficulté d'identifier ce qui se passe en brousse, comme dans les bidonvilles des mégapoles africaines, où le virus se répand actuellement.

Le séisme de 7,4 en Amérique centrale : prédit !

Aujourd'hui, un puissant séisme de magnitude 7,4 s'est produit au large des côtes du Nicaragua et du Salvador, il a été ressenti dans tous les états de la région et même jusqu'au Mexique (moins d'un heure plus tard, survenait un séisme de magnitude 6,1 au large de la Nouvelle Zélande). 

Ebola : transmission du virus...

La transmission du virus...tout le monde s'inquiète de ça maintenant.

Transmission, transmission, transmission, elle se fait par ici et par là.

J'ai de  bonnes nouvelles. Une transmission ne veut pas dire automatiquement qu'on va tomber malade.

Si tel était le cas, la race humaine toute entière aurait été balayée il y a des siècles.

Groenland...

La maladie se transmet entre les espèces...

When news broke that the Ebola virus had resurfaced in Uganda, investigators in Canada were making headlines of their own with research indicating the deadly virus may SPREAD between species, through the air.